La vérité se cache

Publié le par Jean-no

Méthode Alithia : publier un de mes posts, y répondre, mais éviter soigneusement de publier ma réponse à la réponse...Tout en laissant passer les insultes qu'ajoutent des contributeurs qui lui sont dévoués (ou qui se moquent d'elle en sortant des énormités ce qui est exactement la même chose).
Du coup cela donne l'impression que c'est moi qui coupe court !
Alithia est toujours aussi lâche et malhonnête
Voici ma réponse au post numéro 16 de cette page.

La presse n'est pas simple. Quand ils me qualifient (ou vous qualifient, d'ailleurs) de "professeur" sans le vérifier, c'est par goût pour la simplification, car ils pensent perdre leur public lorsqu'ils sont trop précis, parce que tout le monde connaît "professeur" mais personne ne connaît "maître de conférences associé". Je suis pour ma part très fier de mon poste (notez que dans une autre institution supérieure, je suis "professeur d'art") qui n'est pas une vacation, je suis contractuel, mais une commission universitaire a décidé que je pouvais convenir à ce poste et je travaille aussi sérieusement que possible. Pourquoi n'ai-je pas repris le journaliste de RFI ? eh bien participez à ce genre de pseudo-débat et vous m'en direz des nouvelles. Contrairement à Assouline, je ne suis pas habitué à répondre du tac au tac mais je sais que tout ce qui contrarie le flux de l'entertainement doit être savamment pesé, qu'il vaut mieux faire passer une idée qui marque plutôt qu'une précision que personne ne réclame. Par contre j'ai réclamé un rectificatif pour le site de RFI, sans résultat. La presse ne fait pas de SAV, elle produit du flux. Je suis tellement malhabile avec que je devrais éviter d'y toucher.
Pour le reste, vos insultes sont décalées : rencontrez mes étudiants et mes collègues, vous saurez qui je suis et ce que je fais.
Voilà pour mon cas.

Le vôtre à présent :
1. Je n'ai pas sous entendu que vous n'étiez pas prof de philo, j'ai rappelé que personne d'autre que vous pouviez en attester.
2. Oui, c'est une raison tout à fait valable, je ne vous reproche pas votre annonymat, mais vous ne pouvez pas espérer avoir le beurre et l'argent du beurre, pseudonympat et autorité professionnelle.
3. Quand on est sans imortance (comme c'est mon cas sur RFI où on m'avait invité pour être l'idiot de service destiné à mettre en valeur un vieux journaliste prestigieux et un animateur ventripotent), le droit de rectification est difficile à obtenir en dehors des tribunaux. Essayez, vous m'en direz des nouvelles.
4. Je ne pense pas vous diffamer, mais je suis en revanche sûr de ne pas vous injurier, je pense que dans mes pires mouvement d'humeur je me suis juste montré ironique, sans plus.

Je suppose que si elle ne me publie pas, c'est qu'elle a trop peur que l'on voie qui a raison.

Couarde, malhonnête, ridicule.

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